Le nouvel hospice a couté 3739 livres, des 13 lits donné par le Sieur Audibert II en 1348, il n’en restait que 10 en 1950.

                      En 1852, il y avait deux sœurs Gaudifri et Bertrand qui dirigeaient l’hospice, elles le quittent pour diriger l’école communale sur la proposition du Maire Mr Richelme 1848 – 1857. Elles furent remplacées par 2 autres sœurs de la même congrégation du Bourg.

                      1878 :  l’hospice était desservi par les sœurs trinitaire de Sainte-Marthe jusqu’en 1951 et la Sœur Aimée (supérieure) du 9 juillet au 20 aout 1721 fit 58 morts à Roquevaire, le total fût de 46 morts. Les spécifiques appliquées aux malades sont curieux, médecine purgatoire et vomitives, pulpes des herbes, racines et semences émollientes et résolutives, emplâtre de gommes, 2 onces de térébenthine de Venise et 2 jaunes d’œufs, esprit de vin. Désinfection des locaux. Lettre du Duc de Brancas le 17 décembre 1721.  

la démolition de l'hospice de Roquevaire.